• Romain se pencha sur son PC, quelques clics rapides, et la confirmation : il est 01:57, le 15 mars 2010.

    Et là, tout le monde se pose la question. Mais qui est donc ce Romain? Car oui, c'est bien beau de se demander où est Romain, mais il faut aussi savoir qui c'est, ce Romain !

    Nan parce qu'imaginez un peu, vous achetez votre bouquin préféré, comme d'hab : Où est Charlie?
    (Notez que pour les fans, vous avez aussi un dessin animé)
    Vous posez votre livre tranquillement, et là on vous demande dès la couverture (ouais, l'auteur il traîne pas) de trouver Charlie.

    Ok, mais ça c'est parce que Charlie, vous savez qui c'est !





    (putain, c'est chaud d'écrire au stylo avec une souris !)

    Bref, là on parvient à comprendre l'enjeu de ce défi exceptionnel du premier coup, grâce à une habile présentation du personnage.

    Maintenant, envisageons une hypothèse tout à fait crédible : l'auteur manquant de temps, il confie la conception de sa couverture à un parfait idiot que l'on appellera Bord. Et là, Bord, il se rend compte qu'il ne sait comment il est Charlie.

    Donc tout ce qu'il arrive à pondre, c'est ceci :




    Oui, Bord est mauvais en plus d'être un crétin, et le visage en forme de smiley qu'il a dessiné fait plus peur qu'autre chose (personnellement, je n'aurais pas trop envie de le chercher des heures, ce type là).

    Mais passons.

    Là, donc, ce que je vous demande, c'est ceci : comment allez-vous faire pour trouver Charlie, alors que tout ce que vous avez, c'est un portrait robot qu'un enfant de 3 ans ferait en plus détaillé?

    La réponse est simple : Vous ne pouvez PAS !

    Triste vérité s'il en est, et qui me ramène à la première ligne de ce billet, qui commence à se faire fort long pour ce que je raconte.
    Si vous ne savez pas qui est Romain, vous ne pourrez pas non plus savoir où est Romain ! C'est le seul point commun entre Romain et Charlie, mais il est de taille.

    Eh bien Romain, c'est Seigi. Romain, c'est Edo. Bref, Romain, c'est moi (fiuu, que de difficultés pour en arriver là).

    En fait, je me suis rendu compte que je racontais plein de trucs sur ma vie, montrais photos et vidéos, donc cacher mon prénom n'avait pas spécialement de sens. Et puis comme ça les personnes qui me vouent un culte auront un vrai nom à mettre sur leurs photos. Les autres pourront chercher à me tuer. Oui, je vis dans un monde plein de nuances.

    Revenons en maintenant au titre de ce billet (merde, là j'ai sérieusement l'impression de régresser à mesure que j'avance dans ma rédaction) : Où est Romain?

    En train de tenter de sauter du haut d'un fameux temple Kyôtoïte histoire de voir si on peut réellement en survivre?




    Non. En fait, Romain est sur son PC en train de réaliser qu'il n'a plus écrit d'article depuis le 18 octobre 2009... A savoir depuis près de 5 mois.

    Et pas de raison particulière derrière ça. Je n'ai pas passé ces 5 mois à m'exercer afin d'obtenir le style parfait (si je n'étais pas faux modeste, je dirais que je l'ai de toute façon déjà).
    Je n'ai pas non plus perdu ma connexion internet.
    Mon esprit est simplement allé s'évader ici et là, et il vient tout juste de revenir sur Japonpoko.

    Ce (pas tellement) court message a ainsi pour principal but de vous prévenir : Romain revient poster ! Ouéééé !
    Je suppose que cette révélation illumine votre journée tel un rayon de soleil (oui, même à 2h30 du mat'), mais restons calme.

    J'ai quelques articles qui traînent dans ma tête depuis plusieurs mois, ainsi que des photos (qui elles trainent plutôt dans mon disque dur).
    J'ai notamment pour projet de rédiger un article sur l'apprentissage du japonais en autodidacte. Pas un article pour enseigner le japonais, mais pour "apprendre à apprendre" le japonais.

    Donc si certaines personnes me lisent entre aujourd'hui et le jour où j'aurai terminé l'article, je tiendrai compte des demandes et/ou remarques.

    Sur ce, je vous souhaite à tous un joyeux noël, dans l'hypothèse où mon prochain billet mettrait encore un peu de temps à venir !



    3 commentaires
  • Je me rends bien compte que les nuances que j'apporte à mes différentes catégories ne sont pas forcément évidentes. Afin que tout soit clair, je vais expliciter un peu l'ensemble.


    -Analyses culturelles sérieuses : C'est là où se trouvent tous les articles sérieux dans lesquels j'analyse un aspect précis du Japon. C'est donc un sujet sur lequel je vais réfléchir assez longueur, pour y apporter ma propre analyse. "Pourquoi les Japonais sont-ils hypocrites?", "Pourquoi les Japonais ne respectent-ils pas leurs engagements" en sont des exemples.

    -Analyse stupide du Japon : A l'opposé, je fais ici en quelque sorte de fausses analyses. Je trouve un sujet marrant, qui me fait tiquer, et j'essaie de trouver des raisons les plus absurdes possibles pour expliquer le tout. "Les Japonais sont tous minces? C'est parce qu'ils mettent la clim' et que grâce à ça ils attrapent la chiasse", ou encore "Pourquoi est-il impossible de dépasser les Japonais dans la rue?" sont autant d'articles qui me permettent de créer un véritable faux débat, en répondant à des questions dont tout le monde est censé se foutre : et c'est ça qui est drôle.

    -Réflexions diverses liées au Japon : On revient ici à un type d'article sérieux, qu'il faut donc distinguer de l'analyse. La réflexion, je la vois plus lâchée comme ça, sur un coup de tête, une simple pensée en quelque sorte. Je trouve un sujet intéressant, et hop j'en parle, sans pour autant l'analyser en détail. Alors que dans l'analyse je me veux le plus objectif possible, les réflexions sont générament plus subjectives : je donne ma vision des choses sur un point précis, et ça s'arrête là. Je peux ainsi parler des prix au Japon, de la façon dont se comportent les gens dans telles situations, mais je n'irai pas chercher le pourquoi du comment. C'est un peu une catégorie fourre-tout en quelque sorte, un exposé de certains éléments du Japon.

    -Réflexions stupides liées au Japon : Cette fois-ci, ça s'oppose à l'analyse stupide liée au Japon. Alors que dans cette dernière, je crée un faux débât, de fausses raisons, bref, j'invente complètement, dans la réflexion stupide, je vais juste lâcher une connerie. C'est par exemple quand je vois un truc drôle dans la rue, et je me dis que ça pourrait faire un billet marrant. C'est stupide parce que là encore, normalement, ça ne devrait intéresser personne (tout le monde se fout de savoir pourquoi un mec souriait à vélo), mais je présente ça de manière vaguement débile pour qu'on ait envie de le lire. Mais toute personne réagissant de manière sérieuse sur de tels sujets serait condamné à passer sur France Arte.
    Pour faire simple, l'analyse stupide, c'est quand je raconte des conneries, j'invente des théories foireuses. La réflexion stupide, c'est juste con.

    -Réflexions stupides HS : Pareil que précédemment, sauf que je parle de trucs qui n'ont aucun rapport avec le Japon. Bref, la réflexion sur un coup de tête par excellence.

    -Japonais : J'y parle de tout ce que je trouve intéressant à dire sur la langue japonaise. Ca peut être des méthodes, des astuces, ou des réflexions sur la langue.

    -Mon voyage au Japon : J'y parle de mes étapes, de mon calendrier, des événements qui ont ponctué mon voyage. Bref, c'est un récit de voyage, en moins complet.

    -Tourisme au Japon : C'est les articles que mon "moi touriste" pond. En gros, le genre de trucs qu'on pourrait trouver sur un guide sur le Japon, pour en apprendre plus sur certains lieux touristiques, sauf que c'est plus drôle, plus léger, bref, plus génial. C'est de moi quoi.

    -Jeux-vidéo/Japanimation : Catégorie où je mets mes articles sur les jeux-vidéo et sur la Japanimation (qui regroupe les manga et les anime). En y allant, attendez-vous à voir de beaux pavés.

    -Billets blog : J'y parle de tout ce qui concerne mon blog. L'introduction, ou tout simplement ce que je suis en train d'écrire, sur son fonctionnement.

    -Vidéo : liste des vidéos que j'ai prises. Comme je ne peux pas en mettre trop dans mes articles, je classe ici les inutilisées (et j'en profite pour mettre celles utilisées au passage, ça me coute rien).


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  • Vous avez remarqué?
    J'ai écrit un billet sur une connerie, mais j'ai fait aucune transition, alors que je n'avais pas écrit depuis 3 semaines (plus précisément, depuis la veille de ma rentrée en France).
     
    On aurait donc presque pu penser que j'étais en fait resté au Japon, mais il n'en est (malheureusement) rien.
     
    Toutefois, ça ne m'empêchera de continuer à mettre à jour mon monde merveilleux.
    Même si je ne suis plus au Japon, le contenu de mes articles restera du même ordre : des analyses plus ou moins sérieuses du Japon tel que je l'ai vécu.
    J'ai aussi quelques lieux touristiques à mentionner, même si ça c'est plus chiant à organiser (je dois trier toutes mes photos, c'est pas drôle).
     
    Bref, j'ai encore de quoi tenir un sacré moment !

    1 commentaire
  • Vous vous êtes toujours demandé pourquoi les Japonais vouaient un culte aux chaussettes  (je ne parle pas des fétichistes, me faites pas dire ce que j'ai pas dit !) ? Pourquoi dans l'aquarium d'Osaka , c'était un dessin de M. Bonhomme en pâte à modeler qui nous prévenait du risque d'escalader les rochers? Eh bien vous êtes sur le bon blog, car tous ces sujets aussi vitaux que... pas mal de choses vitales... seront traités ici avec une rigueur exemplaire ! Et tant que vous y êtes, lisez aussi cette intro, car elle vous permettra de mieux cerner les objectifs de mon blog, ainsi que de ma personne (mais pas trop non plus, j'peux pas résumer ma vie en un billet). C'est ici que tout commence !


    C'est marrant, j'avais prévu de faire un long sujet pour introduire ce nouveau blog, mais je me suis rendu compte que porté par mes émotions (pas très positives à ce moment), j'étais en train de raconter un truc un peu fade, sans saveur : moisi, comme j'aime souvent à le dire.

    Et quand je me suis mis à écrire "ne vous sentez pas obligé de lire la suite, c'est pas spécialement intéressant car c'est juste une intro", je me suis rendu compte que y'avait comme qui dirait une couille dans le potage, un peu comme les mouches au resto, sauf que ça se voit plus (remarquez, j'en ai jamais vu, donc je saurais pas dire si ça se remarque vraiment, mais j'imagine que ça fait tâche, sauf si c'est une soupe aux rognons de porc, car dans ce cas c'est juste que le client n'a pas de goût).

    C'est un peu comme ce que disent mes profs de droit : ne commencez jamais un oral (par exemple) par une accroche du style "il n'y a pas grand chose à dire sur ce sujet". Non seulement le prof a l'impression qu'on le prend pour un con à proposer un tel sujet, mais en plus vous être juste en train de dire à l'avance que vous allez raconter de la merde. Ca le met dans de bonnes conditions pour apprécier votre travail.

    Eh bien là c'est pareil. Vous dire "c'est pas intéressant ce que j'écris" (en plus je l'avoue, je me faisais passablement chier en l'écrivant, déjà quand c'est comme ça c'est mauvais signe), ça revient à vous dire "ne me lisez pas", et donc "j'écris des trucs pas intéressants".
    Donc hop, delete de tout ce que j'avais écrit (40 min jetées à l'eau, c'est con quand même), et je reprends pour parler de manière plus... personnelle dirons-nous.


    Alors venons en au coeur du sujet : Pourquoi ce blog? C'est très simple : ... ...
    ...Faut vraiment que je trouve une raison au fait?

    A la base, ça m'est venu comme ça, lors de mon premier voyage au Japon... En fait non, même pas. J'ai commencé par simplement raconter ma vie, ce qui était pas très intéressant (eh ouais, j'ai comme tout le monde une vie relativement commune), puis j'ai simplement voulu réagir sur des sujets d'actualité... non je plaisante, simplement sur des idées qui me passaient par la tête. La peine de mort, l'hypocrisie des gens, la fausse modestie... Et puis je me suis mis à raconter des petites conneries (des blagues aussi géniales que "Pourquoi les mouches sont-elles enrhumées quand elles sont bébé? Car c'est en se mouchant qu'on devient moucheron". Cette blague vient de moi, donc je vous prierai de rire). Et c'était drôle. Donc j'ai été repéré par Laurent Ruquier, mais comme je voulais pas faire d'ombre à l'humoriste qu'est Eric Nollaud, j'ai refusé. Et j'ai plus rien écrit...

    Jusqu'à ce que je parte au Japon en été 2008 ! C'est là que j'ai eu le déclic ! "Hey mais en fait ma vie elle est trop géniale, je vais au Japon !!!" Ce que certains pensent soit dit en passant, car beaucoup considèrent qu'aller au Japon est mission impossible, ce qui est archi faux. C'est mission impossible que tant qu'on pense que ça l'est.

    Comme disait Mark Twain, je ne savais pas que c'était impossible, alors je l'ai fait (cool, j'ai réussi à sortir de manière convainquante cette citation).

    Mais c'est un peu ça l'esprit en vrai. Les gens paniquent à l'idée de partir, et ils se fixent eux-mêmes leurs limites. Moi, je me suis simplement réveillé un jour en me disant "c'est décidé, dans un an, pour mes 18 ans, je pars au Japon. D'ici là, je veux être capable de parler japonais". J'ai donc bourriné des bouquins, tout seul donc, et j'ai obtenu un niveau plus que convenable en japonais, pour finalement partir le 10 février 2007 si mes souvenirs sont bons (3 jours après mes 18 ans). En rentrant, il m'était devenu évident que je devais continuer le japonais, et partir à nouveau. Et c'est comme ça que je me retrouve maintenant à pouvoir faire plus ou moins ce que je veux en japonais, à savoir discuter normalement, jouer à des jeux vidéo jamais sortis en France ou regarder des films sans sous-titres. Bien sûr, j'ai mes limites (je serais incapable de lire un roman, ou d'aborder des discussions avec du vocabulaire technique), mais je m'en accomode, et j'ai tout mon temps pour continuer de progresser. Bien sûr, quand je dis que je fais ce que je veux, c'est dans le sens où ce que j'ai vraiment envie de faire, je suis capable de le faire. Ca ne veut pas dire que je peux "tout" faire ^^.

    Bref, ayant découvert que j'avais potentiellement des trucs à raconter en allant au Japon, j'ai décidé de reprendre mon vieux blog. Mais je me suis vite vu confronté au problème du blogger moyen : je racontais ma vie, mais au Japon. Ca peut en intéresser certains, mais d'un point vue intellectuo-psychologique (ça veut rien dire, mais on s'en fout), ça ne me satisfaisait pas.

    J'ai donc ce jour là aussi effacé tout ce que j'avais écrit, et repris à 0 en trouvant finalement mon style : parler du Japon en usant de ce qu'ont les Français de mieux : l'ironie !

    En France, on est les maîtres de l'ironie. C'est un humour absolu, et qu'on trouve nettement moins dans d'autres pays. D'ailleurs, soit dit en passant, les Japonais sont un peu dénués de tout sens de l'ironie, ce qui peut poser problème par moments, mais bref.

    Donc j'ai alors décidé de raconter des anecdotes, de faire des coups de gueule, mais de manière décalée. Vous verrez bien vite ce que ça a donné. Mais pour vous donner une rapide idée, c'est des articles du style "pourquoi les Japonais imitent-ils la marche de l'homme bourré quand ils marchent en groupe?", "Pourquoi le Japonais que j'ai croisé à vélo souriait-il bêtement en pédalant?", ou encore "Pourquoi les Japonais pissent-ils en public alors qu'ils sont trop pudiques pour se tenir la main?".

    Des questions hautes en couleurs, qu'a légitimement dû se poser toute personne en bonne santé, et auxquelles j'apporte des réponses... vaguement exactes. Dans un délire d'auto-satisfaction, et parce que je déteste la fausse modestie (j'en viens même à penser par moment que je tolère mal la vraie modestie, c'est dire... Donc j'me fais violence et j'me dis que c'est pas de la faute des gens s'ils sont vraiment modestes), j'ai envie de le dire... Je ris de ce que j'écris.

    Ouais, bien qu'on répète partout que rire de ses blagues, c'est super naze (j'ai honte quand quelqu'un me raconte une blague et qu'il en rit plus que moi), ben moi, je ris de ce que j'écris. C'est balèze hein? 'Fin bref, j'ai toujours pensé qu'il valait mieux être content de soi que l'inverse, donc c'est tant mieux. Et puis, j'écris aussi un peu pour moi, une sorte de journal de bord, journal intime et journal Pompoko 3 en 1 (en fait, je savais pas quoi mettre comme 3e qualificatif pour faire un journal 3 en 1, donc j'ai opté pour Pompoko qui ne veut contextuellement rien dire, j'avoue). Donc c'est pas plus mal si en relisant mes aventures au Japon, je me fais marrer.


    Que dire d'autre...

    J'ai donc commencé à écrire tout ça la veille de mon départ au Japon (ça devait donc être le 30 juin 2008? Un truc comme ça), voyage qui a duré 2 mois et une semaine soit dit en passant. Et aujourd'hui, j'ai décidé de passer à un nouveau type de blog, un peu plus joli, et toussa (en fait, je sais moi-même pas bien pourquoi j'ai changé, mais je ressentais le besoin de changer, un peu comme le serpent qui trouve qu'il serait mieux s'il changeait de peau même si ça lui sert à rien... Sauf que je change pas de peau... et que je suis pas un serpent)

    Pour ces raisons, je préciserai sur chacun des anciens billets que j'avais faits sur mon ancien blog la date d'origine, afin que vous puissiez savoir dans quelles conditions j'étais au moment de la rédaction du message. Par exemple, le jour où mon engin digestif était aussi animé qu'un mixeur de fruit berserk (au Japon), il est évident que mes réactions étaient influencées quelque peu.

    Et je finis (enfin !!) sur le titre de mon blog. Japonpoko, c'est simplement un jeu de mot, un magnifique calembour avec le mot "Japon" et le mot "Pompoko". Non seulement je trouve ça marrant comme nom, mais en plus ça fait tout de suite comprendre au lecteur que je parlerai du Japon sans me prendre au sérieux. Et puis, Pompoko est un super film du studio Ghibli que j'ai vu au Japon. Si ça c'est pas un symbole !! (Maintenant, j'me demande juste si je devrais mettre mon blog dans la catégorie "voyage/tourisme" ou "humour/comédie...)

    En passant, n'hésitez pas à lâcher des commentaires (et pas que sur msn ^^), à me faire de la pub, à me vouer un culte (faites juste une recherche google avant pour être sûr de pas faire concurrence à un autre de mes cultes), à me préparer à manger, ou à me défier à un concours de lancer de nains (non, je déconne, c'est interdit par la loi maintenant).

    Tout étant dit, je finirais sur une belle phrase qui n'a aucun rapport, mais qui mérite quand même d'être conclusive :

    "Everything will be okay in the end. If it's not okay, then it's not the end"


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